La Cloche du Collège
Cette cloche dans la cour de notre Collège, sonnait la fin des récréations, ... Aujourd'hui dans l'amphithéâtre du Lycée Valéry Larbaud où nous réunissons notre AG annuelle.

Feu dans les Nouvelles Galeries
Vichy a été une des premières villes de France à avoir un 'Grand Magasin', qui a brulé ... Situé Place de l'Hôtel de Ville, en face de la Poste (qui n'existait pas à l'époque), qui plus tard a abrité un marché couvert, un service du Ministère des Finances, puis aujourd'hui des bureaux de 'Vichy Val d'Allier' ....

Les Chiens Verts (Poème de Pierre Villard, vers 1920, né à Cusset, Instituteur), dédié "à sa chère Ville natale"

Vous êtes des "Chiens-Verts", ne dites pas que non,
car c'est un souvenir glorieux que j'évoque :
rappelez-vous encore, et toujours, cette époque,
où  vos pères fondaient en l'An Deux leur canon !

Au contraire, soyez fiers de votre surnom,
et, bien qu'aux étrangers il paraisse baroque,
ne le jetez pas ainsi qu'un défroque
drapez-vous en plutôt avec orgueil, sinon -

"O Chiens-Verts !" vous nierez un beau geste de gloire !
Qu'importe la légende ou qu'importe l'histoire,
que leurs canons se soient ou non "vert-de grisés !"

Croyez que vos aïeux avaient l'âme française,
et que de liberté tous ont été grisés !
- Laissez planer sur vous ce chant de Marseillaise !

La Légende des canons "Chiens verts" : Après la reddition du futur Louis XI, le 17 juillet 1440, le roi Charles VII, son père, l'emmena vers les remparts. Voulant lui donner une leçon, il caressa le canon de bronze tout vert-de-grisé par les intempéries et lui dit en substance : "Louis, voici un de mes bons "Chiens verts", un de mes bons chiens qui défendent ma cité royale. Ils me sont bien fidèles eux, et seront toujours à mon service, prêts à mordre les ennemis du Roy"

VICHY ! (Poème de Pierre Villard, vers 1920), dédié "à M. Louis LASTEYRAS, Maire de Vichy, Officier de la Légion d'Honneur"

Bergerette, c'est toi qui t'es faite si belle,
toi qui naquis au plus rustique des berceaux ?
Que vois-je ? Des palais, vrais temples de tes Eaux,
des thermes fastueux, ô Jouvence immortelle !

Où donc sont les marais ? où donc la pastourelle
qui venait à l'étang abreuver ses troupeaux,
au soir, dans le frisson bleuâtre des roseaux,
où bruit maintenant la source qui ruisselle ?

Sans doute, quelque fée... il me semble la voir :
Des yeux pleins de l'azur d'un grand rêve d'espoir,
tout blonde ... ce fut ton illustre marraine ! (1)

Son baiser, ô Pastoure ! - inoubliable honneur ! -
Baiser vraiment royal, dut te porter de bonheur,
Bergerette d'antan - aujourd'hui belle Reine !

- o -


Une fable racontée le soir devant la cheminée (inutile de traduire en français !)

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